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RSE : la responsabilité sociétale des entreprises

L'importance de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) en France n'est plus à démontrer. Mais que signifie cet acronyme ? C'est quoi la RSE dans une entreprise ? Quel est son but ? Comment mettre en place une stratégie RSE ? Quels enjeux et quels avantages ? Nous vous expliquons comment la démarche RSE s'intègre dans l'entreprise pour transformer son impact social, sociétal et environnemental durablement.

Qu'est-ce que la responsabilité sociétale des entreprises ou RSE ?

Définition de la RSE

Comment définir la RSE ? La Responsabilité Sociétale des Entreprises - aussi connue sous le terme Responsabilité Sociale des Entreprises - désigne la responsabilité prise par une entreprise vis-à-vis de son environnement sur un plan social, environnemental et économique.

Il existe plusieurs définitions de la Responsabilité sociétale des entreprises, mais toutes partent d'un même postulat. Les activités d'un acteur économique impactent son environnement. En achetant, produisant, commercialisant, l'organisation génère des effets collatéraux appelés externalités. Ces externalités peuvent être positives ou négatives, directes ou indirectes, réelles ou potentielles, non intentionnelles ou intentionnelles (alors appelées impacts). En relocalisant une usine de textile en France, je génère des externalités positives (ex. création d'emplois locaux) et négatives (ex. non-accessibilité du produit du fait de l'augmentation des coûts).

les 3 piliers de la RSE

Qu'est-ce que l'ESG ACT ?

L'ESG ACT forme des managers spécialisés en RSE et développement durable, offrant des diplômes reconnus par l'État et une alternance dès la 3ᵉ année. Vous obtiendrez des compétences recherchées par les employeurs, favorisant une insertion professionnelle rapide.

Dans le cadre d’une démarche RSE, ces externalités deviennent une source d'attention pour l’entreprise. La Commission Européenne définit la RSE comme l'intégration volontaire au sein de l'entreprise des enjeux sociaux et environnementaux.

Une démarche RSE repose donc pour une entreprise sur sa capacité à identifier, mesurer et maîtriser ces impacts. Pour cette raison, une politique RSE est susceptible de transformer en profondeur l'activité commerciale d'une entreprise mais aussi ses relations avec toutes ses parties prenantes : salariés, consommateurs, fournisseurs, acteurs de son territoire, investisseurs...

Non la RSE n'est pas une vitrine !

Qu'est-ce que l'ESG ACT ?

L'ESG ACT forme des managers spécialisés en RSE et développement durable, offrant des diplômes reconnus par l'État et une alternance dès la 3ᵉ année. Vous obtiendrez des compétences recherchées par les employeurs, favorisant une insertion professionnelle rapide.

 

Quelle différence entre RSE et Développement durable ?

Responsabilité sociétale des entreprises et développement durable sont intimement liés. La RSE engage spécifiquement l'entreprise dans une démarche globale de développement durable. Elle va, grâce au dialogue et à la collaboration avec l'ensemble de ses parties prenantes (salariés, acheteurs, investisseurs), chercher à avoir un impact positif sur son territoire.

Les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies

Chaque initiative RSE peut être reliée à l'un des 17 ODD (Objectif de Développement Durable) tels que définis par l'ONU en 2015. Lutter contre la pauvreté, contre la faim, s'engager pour la santé et le bien-être, pour l'éducation, pour l'égalité entre les sexes, pour une eau propre et assainie, pour une énergie propre et abordable, pour des conditions de travail décentes, pour des inégalités réduites, des villes durables, etc. Or, pour contribuer aux ODD il ne suffit pas de réduire ses impacts négatifs mais bien d'évaluer comment l'entreprise peut contribuer positivement à un avenir durable. 

En conclusion, une définition de la RSE ne se limite pas à juste réparer ou "compenser" ses externalités négatives, c'est aussi agir pour un avenir durable. C'est ce que résumait Antonio Guterres, secrétaire des Nations Unies, en 2020 :

Les entreprises doivent aborder les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance de manière holistique et aller au-delà du statu quo. Lorsque les entreprises s’unissent, elles peuvent être une force puissante pour le bien.

Antonio Guterres

Ce constat fort de l'ONU donne aux entreprises le pouvoir de changer le monde en se transformant collectivement. Et cela nécessite parfois de repenser en profondeur son activité et donc son modèle économique, comme par exemple passer de la vente de produit à la location et à la maintenance.

 

Les trois piliers de la RSE

Une politique RSE repose sur 3 piliers fondamentaux :

  1. Economique : viser la pérennité de l'entreprise mais aussi de ses parties prenantes à moyen et long terme. Et cela passe par une meilleure anticipation des risques, une attention portée à la satisfaction client, plus de transparence auprès des investisseurs, une relation équilibrée avec ses fournisseurs, une optimisation des coûts... Cela implique pour l'entreprise de se mettre dans une posture d'amélioration continue.
  2. Social : veiller sur l'ensemble des parties prenantes de l'entreprise. Respecter les droits des travailleurs, assurer leur bien-être et leur motivation, s'appuyer sur une politique managériale solide (ex. charte d'égalité et de non-discrimination). Y compris pour les collaborateurs des parties prenantes.
  3. Environnemental : développer l'entreprise en respectant son environnement. Optimiser l'utilisation des ressources naturelles, limiter ses émissions de gaz à effet de serre, limiter ses déchets et toute source de pollution.

 

La norme ISO 26000

ISO 26000 : les 7 questions centrales

La norme ISO 26000, standard international incontournable créé en 2010, nous offre un cadre. Cette norme est le fruit d'un travail mené sur plusieurs années en collaboration avec 99 pays dont la France. Même si aujourd'hui les politiques RSE diffèrent d'un pays à l'autre, l'ISO 26000 reste une référence. Cet ISO définit un périmètre autour de 7 thématiques qui se déclinent en 34 domaines d'actions :

  1. La gouvernance de l’organisation,
  2. Les droits de l’homme,
  3. Les relations et conditions de travail,
  4. L’environnement,
  5. La loyauté des pratiques,
  6. Les questions relatives aux consommateurs,
  7. Les communautés et le développement local.

 

Quelles sont les actions possibles de la RSE ?

Dans la pratique, la société engagée dans une démarche RSE va mettre en place et mesurer différentes actions pour atteindre cet objectif : promouvoir l'égalité hommes/femmes au sein de son organisation, faire évoluer son produit (conception, matières premières) pour répondre aux enjeux de protection de la biodiversité, s'engager dans une démarche sociale sur son territoire...

Anticiper les évolutions réglementaires

Quelques exemples d'actions RSE

  1. Veiller au respect de l'environnement, être attentif à l'utilisation des ressources, à la gestion de ses déchets, etc.
  2. Protéger les populations locales : favoriser l'emploi local par exemple,
  3. Payer ses impôts en France,
  4. Etablir un dialogue avec l'ensemble de ses parties prenantes,
  5. Eco-concevoir son produit,
  6. Favoriser l'allongement de la durée de vie des produits,
  7. Soutenir les réseaux de réemploi, de réutilisation et de réparation,
  8. Anticiper les évolutions réglementaires (ex. l'étiquette éco-score dans le secteur du textile),
  9. Soutenir les communautés locales

Qui est concerné ?

Réglementation RSE en France et en Europe

En France, le cadre législatif et réglementaire encourage cette évolution de l'entreprise. La loi Pacte entrée en vigueur le 22 mai 2019 a mis en place de nouvelles dispositions pour renforcer cette transformation. Depuis 2019, l'objet social de toutes les sociétés intègre la prise en considération des enjeux sociaux et environnementaux de leur activité. Il est également reconnu la possibilité aux sociétés de préciser dans leurs statuts une raison d'être.

En tant qu'acteurs économiques à impacts, les grandes entreprises, et les entreprises cotées en bourse en particulier, sont soumises à des réglementations spécifiques depuis plusieurs années. Depuis les années 90 en France, elles doivent publier des informations sur leurs impacts environnementaux et sociaux (reporting ESG, DPEF).

Sur ce plan, l'Union Européenne est également moteur de ces évolutions avec la récente entrée en vigueur de la directive CSRD (janvier 2024) dont l'objectif est d'harmoniser les obligations de publication d'information en matière de durabilité pour les sociétés au sein de l'Europe. Dans la lignée de cette initiative européenne, nous pouvons également retenir la nouvelle directive sur le devoir de vigilance ou diligence. Elle engage l'entreprise à mieux contrôler l'ensemble de sa chaîne de valeur, y compris ses fournisseurs et ses distributeurs.

Démarche RSE et volontariat

Mais le principe même de la RSE invite les entreprises responsables à ne pas attendre une évolution législative pour se transformer. Et c'est le cas de nombreuses entreprises françaises qui chaque jour évoluent de façon volontaire pour mieux répondre aux enjeux environnementaux et sociaux. La loi Pacte a par exemple créé en France le statut d'entreprise à mission. Ce statut non obligatoire permet à n'importe quelle organisation de lier les objectifs de sa stratégie d'entreprise à sa démarche RSE en lui offrant un cadre. Par exemple, intégrer des indicateurs RSE dans les résultats de l'organisation et indexer la rémunération du Comité de Direction sur ces résultats.

Entreprise RSE

La mise en place d'une démarche RSE n'est pas réservée aux entreprises multinationales. Toutes les entreprises peuvent mettre en place une stratégie RSE, quelle que soit leur taille, leur statut juridique, leur secteur. Elles y sont fortement incitées par la force des choses. Les grandes entreprises font évoluer leurs politiques d'achat, elles intègrent par exemple dans leurs appels d'offres de plus en plus de critères RSE, obligeant les PME à mesurer ces critères et à les faire évoluer. De là à se fixer des objectifs, il n'y a qu'un pas qu'il est préférable d'anticiper !

 

Qu'est-ce que le RSO ?

Et cette démarche va bien au-delà de l'entreprise : elle touche aussi les associations, les collectivités territoriales et toute autre organisation. On parle alors de RSO : Responsabilité Sociétale des Organisations. Toute entité, quelle que soit sa nature, est invitée à rentrer dans une démarche de développement durable.

Pourquoi faire de la RSE ?

Un incontournable

Comme le dit la Commission Européenne :

Se préoccuper de la responsabilité sociale ou sociétale des entreprises est dans l’intérêt des entreprises elles-mêmes

la Commission Européenne

L'entreprise fait partie d'un écosystème social et environnemental et son intérêt est de préserver cet écosystème pour assurer sa pérennité.

Au-delà de ce constat, il existe de nombreux avantages à la mise en place d'une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises.

Les avantages de la RSE

  1. Une démarche RSE renforce la compétitivité d'une entreprise (appels d'offres, politique d'achat) : un positionnement RSE crée la différence et constitue un atout en cas de mise en concurrence.
  2. La responsabilité sociétale des entreprises les invite à une meilleure gestion des risques notamment en matière de gestion des ressources environnementales.
  3. Les économies de coûts réalisées grâce à cette stratégie renforcent sa solidité financière.
  4. Une entreprise engagée en matière de RSE crée un lien de proximité avec ses parties prenantes. Elle est plus à l'écoute des besoins de ses clients. Les engagements RSE de l'entreprise peuvent l'amener à découvrir de nouvelles tendances et à explorer de nouveaux marchés.
  5. Ce lien tissé avec ses parties prenantes, et notamment avec ses clients et salariés, renforce la confiance de ces dernières. Un positionnement RSE rassure et conforte. En particulier en phase de recrutement de nouveaux collaborateurs : la réputation des entreprises sur le plan sociétal joue un rôle clé dans l'intégration de jeunes salariés très attentifs en matière de marque employeur.
  6. Participer à des actions RSE donne de l'énergie aux collaborateurs ! En leur offrant la possibilité de devenir acteurs de la démarche RSE de leur entreprise. On le sait, la mise en action est un remède efficace à l'éco-anxiété très présente dans notre société. Et des salariés motivés et responsabilisés sont plus productifs.

Quel est l'impact de la RSE sur les entreprises ?

En pratique, la mise en place d'une stratégie RSE engage l'entreprise et l'impacte durablement. Mais ces transformations diffèrent d'une entité à l'autre. Ainsi, une entreprise ayant recours à de nombreux fournisseurs travaillera en priorité sur sa politique d'achats, une entreprise exploitant des ressources naturelles priorisera une démarche d'éco-conception, une entreprise travaillant sur un territoire économique en difficulté favorisera l'emploi local, etc.

Au sein des entités engagées, les services et acteurs impactés ne sont pas toujours les mêmes. Les objectifs RSE peuvent mettre l'accent sur une évolution de l'activité commerciale de l'entreprise ou sur la gestion de ses parties prenantes. Toutefois, toute la chaîne de valeur de l'entreprise reste concernée et peut contribuer à ces évolutions. De l'extraction des matières premières jusqu'au recyclage des produits finis, en passant par sa relation client et sa politique salariale.

Nous l'avons vu, les piliers de la Responsabilité Sociale des Entreprise intègrent bien évidemment une dimension économique. En s'engageant dans une démarche RSE, l'entreprise assure sa pérennité. Il est ainsi possible de mesurer l'impact de la RSE sur la performance d'entreprise, sur sa réputation, voire de calculer un ROI de la RSEDe nombreuses études le prouvent : les entreprises engagées sont plus performantes économiquement. Elles se différencient de la concurrence, entretiennent de meilleures relations avec leurs parties prenantes, fidélisent leurs clients et leurs collaborateurs.

La RSE transforme l'organisation des entreprises. La réussite d'une stratégie RSE passe par la nomination d'un Responsable RSE pour piloter les actions définies en transverse, par exemple. Elle modifie également la gouvernance de l'entreprise, en donnant plus de poids à la parole des collaborateurs.

Collaborateurs Acteurs RSE

Comment mettre en place une démarche RSE dans son entreprise ?

La première chose à faire lorsque l'on souhaite se lancer c'est de réaliser un diagnostic. Cette analyse va permettre d'évaluer la situation actuelle et d'identifier les leviers d'actions prioritaires et les bonnes pratiques. Elle pose les bases d'un reporting RSE qui viendra mesurer dans le temps les évolutions de l'entreprise.

En effet, qui dit Responsabilité Sociétale des Entreprises dit rapport RSE. Sans mesure, impossible des prioriser les actions RSE et d'évaluer l'impact des projets mis en place. Une démarche RSE implique l'établissement d'un diagnostic basé sur des mesures. Ces indicateurs vont permettre à l'entité d'identifier ses leviers d'actions prioritaires et de se fixer des objectifs pour réduire significativement ses impacts négatifs.

Mettre en place des bonnes pratiques

Une fois cet état des lieux réalisé, l'entreprise doit se lancer dans des démarches concrètes et visibles qui vont l'encourager dans la poursuite de sa politique RSE. Elle pourra par exemple appliquer un certain nombre de bonnes pratiques pour se lancer.

Un point fondamental repose sur sa gouvernance : les acteurs doivent impérativement se structurer. En commençant pas la nomination d'un Responsable RSE et en lui donnant les moyens d'agir. En tant que leader, il aura la responsabilité de poser les bases de la politique RSE de la société en initiant l'audit. Mais attention, l'engagement du Comité de Direction reste un point fondamental pour réussir cette transformation.

Quid de la communication RSE ? Pour éviter tout risque de greenwashing il est essentiel d'attendre que les actions soient engagées.

 

Exemples de stratégies RSE réussies

Les exemples de stratégies réussies ne manquent pas.

C'est entre autres le cas de la stratégie Veja dont la stratégie de marque repose sur l'engagement social et environnemental de ses deux fondateurs. En choisissant de ne pas investir dans la publicité pour prioriser une production en accord avec les enjeux RSE, ils ont créé l'une des plus belles success stories françaises de ces dernières années.

Comment ne pas également citer Décathlon, régulièrement considérée entreprise la plus engagée de l’hexagone et ce non sans raison. Depuis sa création en 1976 l’enseigne ne cesse de se challenger.

Enfin, Blablacar, la très réputée plateforme digitale de covoiturage, a su très tôt miser sur le fait qu’il était préférable d’optimiser l’utilisation d’un bien existant (en cherchant à partager son véhicule) que de le substituer à un bien en apparence plus vertueux (ex. continuer à se servir de son véhicule de la même manière mais le remplacer par un modèle électrique). La firme a ainsi réussi l’exploit de contribuer à l’économie de 1,5 Millions de tonnes de CO2 en 2022, de provoquer plus de 90 millions de rencontres humaines et de faire faire à ses usagers plus de 450 millions d’euros d’économies.

Pour aller plus loin découvrez notre classement des entreprises les plus responsables en 2024.

Pourquoi se former à la RSE ?

Plus que jamais le monde économique a pris conscience du caractère incontournable de la Responsabilité Sociétale des Entreprises et en particulier de la nécessité d'agir sur son impact environnemental. Mais pour mettre en place une démarche RSE, il est essentiel de se faire accompagner. Et cela passe par des compétences clés : Gestion de Projet, Achats Responsables, Communication Responsable. Or, ces ressources font aujourd'hui défaut aux sociétés.

Quelle formation pour travailler dans la RSE ?

Une formation de qualité devra impérativement offrir aux étudiants une approche pluridisciplinaire. Objectif : maîtriser à la fois :

  1. Les enjeux du développement durable (les 17 ODD de l'ONU),
  2. Des connaissances théoriques approfondies du monde d'aujourd'hui (géopolitique, climat, gouvernance),
  3. Le cadre législatif et réglementaire actuel,
  4. Les fondamentaux de la gestion de projet, des achats et de la communication.

L'ESG Act propose des bachelors RSE ainsi que des Mastères RSE allant de Bac+1 à Bac+5 :

Pourquoi se reconvertir dans la RSE ?

En alliant votre expérience, vos convictions personnelles et une expertise en développement durable vous vous offrez la possibilité d'agir en accompagnant les entreprises sur le chemin de la transformation.

En conclusion, le paysage de la Responsabilité Sociétale des Entreprises est en plein essor mais manque encore de professionnels formés pour accompagner les transitions et les suivre dans le temps. Alors pourquoi pas vous ?

POURQUOI CHOISIR L'ESG ACT ?

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